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Or
Un œil persan vous regarde, et pas seulement parce que nous sommes en plein festival de Cannes. Regard de cinéaste sur le monde comme il va, poétique, dramatique, lyrique. C’est l’histoire d’un cinéaste ayant quitté son Iran d’origine, pour faire de l’image sa nouvelle terre d’accueil.
Le parcours d’Aly Yeganeh - retenez bien ce nom - est à l’image de cette passion pour le bien regarder. Formé à la London Film school, puis à la Southern Methodist University aux EU, un peu de sociologie, de philosophie à l’Université de Nanterre en France, un peu beaucoup de géopolitique dans sa poche de Moyen-Oriental, et nous voici au pays de la photo telle qu’il aime la concevoir.
Avec son long métrage Le silence de Sibel qui sort ce mois-ci (mai 2024) sur nos écrans, il braque sa caméra au nord de l’Irak sur une toute jeune fille kurde yézidie, enlevée et réduite à l’esclavage sexuel par Daech. Couronné de prix aux EU et au Canada, soutenu en France par la Fondation Danielle Mitterrand, ce film reste en nous comme un silence intérieur d’où l’on peut entendre les hurlements de ces milliers de femmes yézidies, toujours disparues.
Un œil persan vous regarde, et pas seulement parce que nous sommes en plein festival de Cannes. Regard de cinéaste sur le monde comme il va, poétique, dramatique, lyrique. C’est l’histoire d’un cinéaste ayant quitté son Iran d’origine, pour faire de l’image sa nouvelle terre d’accueil.
Le parcours d’Aly Yeganeh - retenez bien ce nom - est à l’image de cette passion pour le bien regarder. Formé à la London Film school, puis à la Southern Methodist University aux EU, un peu de sociologie, de philosophie à l’Université de Nanterre en France, un peu beaucoup de géopolitique dans sa poche de Moyen-Oriental, et nous voici au pays de la photo telle qu’il aime la concevoir.
Avec son long métrage Le silence de Sibel qui sort ce mois-ci (mai 2024) sur nos écrans, il braque sa caméra au nord de l’Irak sur une toute jeune fille kurde yézidie, enlevée et réduite à l’esclavage sexuel par Daech. Couronné de prix aux EU et au Canada, soutenu en France par la Fondation Danielle Mitterrand, ce film reste en nous comme un silence intérieur d’où l’on peut entendre les hurlements de ces milliers de femmes yézidies, toujours disparues.
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