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L’eurodéputé François-Xavier Bellamy, mène la liste du parti français Les Républicains, créditée de 8% d’intentions de vote dans les sondages pour le scrutin du 9 juin. Il entend s’adresser à son électorat rural : « Ça fait maintenant des mois, des années qu'ils disent leur angoisse parce que l'Europe n'a cessé de leur rendre la vie de plus en plus compliquée, comme si le but était de les empêcher de produire. Ce sont des Verts, de La Gauche et Renew Europe qui ont porté dans l’hémicycle un projet de décroissance », selon lui, entre autres à travers le projet de loi sur la Restauration de la nature, contre lequel il a voté.
Il expose les contradictions de Jordan Bardella, qui caracole à 20 points au-dessus de sa liste dans les sondages : « On voit un Rassemblement national qui dit tout et son contraire sur les sujets agricoles. Tout et son contraire, quand il propose les prix plancher qui sont la solution de LFI pour l'agriculture française et que dès que le président de la République se rallie à cette idée d'un seul coup, le Rassemblement national finit par abandonner et changer complètement de discours ! »
Les 6 et 7 mars 2024, le PPE se réunit à Bucarest pour son congrès pour renouveler sa confiance à l’actuelle présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, cheffe de file de la droite européenne… c’est sans lui ! « Nous nous sommes opposés à la perspective d'un nouveau mandat d'Ursula von der Leyen, simplement parce que nous regardons le bilan et nous sommes nombreux au PPE à dire qu’il n'est pas conforme à ce qu'on doit attendre aujourd'hui d'une Commission européenne qui a pour mission de renforcer l'Europe et qui aura très largement contribué à la fragiliser au cours des dernières années (...) Quand Ursula von der Leyen, avec une stratégie qui la rendait otage de l'agenda des Socialistes et des Verts, a poussé pour des mesures qui ont créé plus de complexité, plus de contraintes, plus de régulations, avec d'une certaine façon, la certitude que cela aboutirait à fragiliser la production en Europe, évidemment, nous ne pouvons pas la suivre. »
Emmanuel Macron a tenu à Paris une conférence de soutien à l’Ukraine, parlant d’envoi de troupes occidentales au sol en Ukraine. Pour François-Xavier Bellamy, « ce manque de sérieux, ce goût de la communication permanente, cette espèce de légèreté et de désinvolture incroyable est d'une gravité inouïe quand on parle d'un sujet comme celui d'une guerre. (...) En faisant cela, il expose notre pays, il met un continent en danger. » L’élu européen se prononce pour un soutien à l’Ukraine dans le conflit mais contre une adhésion pleine et entière de l’Ukraine à l’UE : « cela me semble être une fausse promesse. D'abord, on le voit, tous les processus d'adhésion aujourd'hui sont à l'arrêt. (...) et à 27, nous n'arrivons pas à avoir un processus de décision qui fonctionne correctement. Comment imaginer que demain, on puisse aller vers de nouveaux élargissements ? » Et il ajoute « les différences structurelles entre l'Ukraine et nos pays sont si grandes (...) que faire entrer l'Ukraine dans l'Europe, ce serait déstabiliser directement toutes les politiques européennes. Il va créer un statut intermédiaire, inventé pour eux et avec eux, bien sûr », conclut-il.
L’eurodéputé François-Xavier Bellamy, mène la liste du parti français Les Républicains, créditée de 8% d’intentions de vote dans les sondages pour le scrutin du 9 juin. Il entend s’adresser à son électorat rural : « Ça fait maintenant des mois, des années qu'ils disent leur angoisse parce que l'Europe n'a cessé de leur rendre la vie de plus en plus compliquée, comme si le but était de les empêcher de produire. Ce sont des Verts, de La Gauche et Renew Europe qui ont porté dans l’hémicycle un projet de décroissance », selon lui, entre autres à travers le projet de loi sur la Restauration de la nature, contre lequel il a voté.
Il expose les contradictions de Jordan Bardella, qui caracole à 20 points au-dessus de sa liste dans les sondages : « On voit un Rassemblement national qui dit tout et son contraire sur les sujets agricoles. Tout et son contraire, quand il propose les prix plancher qui sont la solution de LFI pour l'agriculture française et que dès que le président de la République se rallie à cette idée d'un seul coup, le Rassemblement national finit par abandonner et changer complètement de discours ! »
Les 6 et 7 mars 2024, le PPE se réunit à Bucarest pour son congrès pour renouveler sa confiance à l’actuelle présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, cheffe de file de la droite européenne… c’est sans lui ! « Nous nous sommes opposés à la perspective d'un nouveau mandat d'Ursula von der Leyen, simplement parce que nous regardons le bilan et nous sommes nombreux au PPE à dire qu’il n'est pas conforme à ce qu'on doit attendre aujourd'hui d'une Commission européenne qui a pour mission de renforcer l'Europe et qui aura très largement contribué à la fragiliser au cours des dernières années (...) Quand Ursula von der Leyen, avec une stratégie qui la rendait otage de l'agenda des Socialistes et des Verts, a poussé pour des mesures qui ont créé plus de complexité, plus de contraintes, plus de régulations, avec d'une certaine façon, la certitude que cela aboutirait à fragiliser la production en Europe, évidemment, nous ne pouvons pas la suivre. »
Emmanuel Macron a tenu à Paris une conférence de soutien à l’Ukraine, parlant d’envoi de troupes occidentales au sol en Ukraine. Pour François-Xavier Bellamy, « ce manque de sérieux, ce goût de la communication permanente, cette espèce de légèreté et de désinvolture incroyable est d'une gravité inouïe quand on parle d'un sujet comme celui d'une guerre. (...) En faisant cela, il expose notre pays, il met un continent en danger. » L’élu européen se prononce pour un soutien à l’Ukraine dans le conflit mais contre une adhésion pleine et entière de l’Ukraine à l’UE : « cela me semble être une fausse promesse. D'abord, on le voit, tous les processus d'adhésion aujourd'hui sont à l'arrêt. (...) et à 27, nous n'arrivons pas à avoir un processus de décision qui fonctionne correctement. Comment imaginer que demain, on puisse aller vers de nouveaux élargissements ? » Et il ajoute « les différences structurelles entre l'Ukraine et nos pays sont si grandes (...) que faire entrer l'Ukraine dans l'Europe, ce serait déstabiliser directement toutes les politiques européennes. Il va créer un statut intermédiaire, inventé pour eux et avec eux, bien sûr », conclut-il.
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